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Cash management, ECOBANK Côte d’Ivoire désignée meilleure établissement financier

Le prix du meilleur établissement financier pour le Cash Management 2021, décerné par Global Finance a été remporté par Ecobank Côte d’Ivoire.

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Le prix du meilleur établissement financier pour le Cash Management 2021, décerné par Global Finance a été remporté par Ecobank Côte d’Ivoire.

L’engagement d’Ecobank Côte d’Ivoire auprès de ses clients-entreprises a été récompensé le lundi 12 avril 2021. La filiale ivoirienne du Groupe Ecobank s’est vu décerner le prix Cash Management. L’avis de nombreux analystes, dirigeants d’entreprises, d’experts en technologie et de chercheurs indépendants, l’analyse approfondie des produits de Cash Management de Ecobank Côte d’Ivoire ainsi que  la rentabilité de la banque, ont milité en faveur de la d’Ecobank.

« Nos solutions de Cash Management s’appuient sur une technologie de pointe et offrent à nos clients ivoiriens des solutions efficaces de gestion du fonds de roulement, de banque transactionnelle et d’investissement sur de nombreux marchés et dans de multiples devises. Nous allons également faciliter l’essor de leur commerce et de leurs investissements intra-africains au fur et à mesure de la mise en place de la ZLEC. Le prix décerné par Global Finance confirme que mes collègues de la Banque Commerciale et de la Banque de Grande Clientèle et d’Investissement offrent au secteur des affaires de la Côte d’Ivoire – des PME aux grandes entreprises –, les produits, les services et l’expérience client qu’ils attendent », a-t-il expliqué.

Le prix Cash Management est décerné par le magazine américain, Global Finances, spécialisé dans les marchés financiers. Joseph D Giarrauto, éditeur et directeur éditorial de Global Finance a soutenu que les prix « récompensent les établissements financiers qui ont aidé leurs clients à traverser » la crise de la Covid-19, en mettant à leur disposition des informations en temps réel et des stratégies efficaces ».

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Economie

La zone de libre-échange ZLECAF et l’e-commerce en Afrique

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Contribuer à améliorer le niveau de vie dans les pays africains, telle est la raison fondatrice de l’Accord de libre-échange continental africain (ZLECAF). La ZLECAF est le modèle et le plan directeur de l’Afrique pour transformer le continent en une puissance commerciale mondiale pour le futur.

Mais que signifie réellement la ZLECAF pour le commerce électronique ?

L’Afrique compte plus de quatorze blocs économiques avec huit communautés régionales reconnues par l’Union Africaine. Ces blocs régionaux ont tous des lois et des accords commerciaux différents, utilisant des monnaies différentes avec des niveaux de développement et des PNB différents. La priorité de ces blocs économiques est d’assurer la continuité des échanges entre leurs membres et de promouvoir les relations diplomatiques et les aspects de sécurité, entre autres.

Néanmoins, cette « recherche de sécurité » entrave la croissance économique potentielle du continent. Un parfait exemple est le cas des services de commerce électronique. Dans des circonstances normales, les entreprises de e-commerce disposent de capacités de livraison de 24 heures à 3 jours ouvrés sur les territoires nationaux où ils opèrent en fonction de leurs sites d’exploitation et de la superficie du pays donné.

Cela signifie que l’on peut s’attendre à obtenir ses marchandises dans un laps de temps relativement court à un prix beaucoup moins cher que celui trouvé dans un pays voisin et, pire encore, dans une autre communauté économique régionale.

Quelques défis : Si Jumia, la principale plateforme de commerce électronique, par exemple, opère au Kenya et qu’un client en ligne au Nigeria souhaite effectuer des transactions depuis sa plateforme, il recevra généralement son achat après une période relativement longue et avec des contraintes coûteuses ou peut-être jamais (si il n’y a pas de liaison aérienne) que s’il était au Kenya.

Aujourd`hui il est plus facile et moins cher de faire venir à Lagos un conteneur de Anvers en Belgique que de presque n’importe où d’Afrique. Cette différence résulte des blocages économiques mis en place par les communautés économiques régionales incluant les droits de douane, les taxes, la bureaucratie etc.

Favoriser l’intégration commerciale signifie l’élimination des taxes ou du moins une harmonisation législative, des souplesses bureaucratiques et, à terme, un accompagnement gouvernemental pour faciliter les échanges commerciaux.

Ces changements apporteront beaucoup aux entreprises de E-commerce. Jumia par exemple qui ne fait que des livraisons à l’intérieur des pays dans lesquels il est implanté pourrait, après ces changements, livrer des colis de la Côte d’Ivoire au Burkina Faso, du Maroc à ses clients de la Mauritanie à moindre coûts et dans un délai court.

Le commerce électronique africain connaîtra de beaux jours dans les années à venir. Les start-ups africaines opérant dans le secteur du commerce électronique restent prometteuses durant les prochaines années.

Selon le cabinet de conseil en économie numérique TechCabal Insights, dans un rapport publié le 12 octobre 2023, le chiffre d’affaires global des plateformes de commerce électronique actives en Afrique devrait atteindre 59,18 milliards de dollars en 2027 contre 32,49 milliards seulement en 2022 et 13,58 milliards en 2018. Ces start-ups devraient tirer profit de l’essor du secteur des paiements électroniques sur le continent, de l’amélioration des infrastructures et des capacités logistiques après la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).

Emmanuel De Kouassi

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Economie

Côte d’Ivoire/ SICI 2024 : Le PDG de CHIM INTER se réjouit de l’engouement suscité par ce salon

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La 7e édition du Salon de l’immobilier de Côte d’Ivoire (SICI), s’est tenue au Parc des Expositions d’Abidja, le dimanche 03 mars 2024 avec la participation de l’entrepriseimmobilière Chim-Inter.

Le succès populaire de ce rendez-vous qui a tenu en haleine les professionnels de l’immobilier durant 2 jours, n’a laissé indifférent Yamoussa Coulibaly, le Président directeur général de Challenge Immobilier International (CHIM INTER) qui n’a cesse manqué de l’expeimer une fois devant la la presse.

Selon le patron de ce fleuron du secteur de l’immobilier, le déplacement massif des populations au SICI 2024 est le signe d’une ère nouvelle dans le secteur. « Nous nous réjouissons de l’engouement des populations. Les nombreux visiteurs qui ont pris d’assaut le stand de CHIM INTER et ceux des autres exposants du salon sont la preuve que les ivoiriens ont compris l’importance d’être propriétaire dans le foncier et dans l’immobilier. Cela nous conforte, en tant qu’entrepreneur, dans le choix que nous avons fait de travailler pour les populations », a-t-il fait savoir.

En outre, M. Coulibaly a exprimé sa gratitude aux promoteurs et au Ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme (MCLU) pour cette plateforme de rencontre entre les acteurs de la chaîne de valeur de l’immobilier. « Ce salon est une opportunité pour les entreprises ivoiriennes des secteurs du foncier et de l’immobilier de montrer ce qu’elles savent faire pour contribuer efficacement au développement de leur pays. Nous remercions notre tutelle qui nous tend la main. CHIM INTER accompagne le ministère dans les campagnes de proximité à travers la Côte d’Ivoire et nous allons continuer. Notre mission est de permettre à chaque ivoirien, quel que soit son pouvoir financier, d’acquérir des biens fonciers et immobiliers en Côte d’Ivoire », a-t-il conclu.

Gba Téan, le Directeur de Cabinet du MCLU, a également, décerné des lauriers aux organisateurs du SICI. « Je félicite les promoteurs pour la qualité de l’organisation. Le choix des thématiques est adapté pour pouvoir répondre à la question du besoin important de logement dans notre pays », s’est-il félicité.

Poursuivant, le collaborateur du ministre Bruno Koné a égrené quelques réformes et actions engagées par son département pour accroître le bien-être des ivoiriens. Il a cité, entre autres, les obligations, en milieu urbain, d’avoir un permis de construire, de recourir à un architecte et à un bureau de contrôle pour les bâtiments d’au moins rez plus 2, le renforcement des contrôles, la transformation de la Sicogi en Agence nationale de l’habitat (ANAH) pour être plus opérationnelle, la mise en place d’un fonds de garantie du logement social pour prendre en compte les ménages à faibles revenus, la recapitalisation de la Banque de l’habitat de Côte d’Ivoire (BHCI) pour relancer son activité de financement du secteur de l’habitat. Avant d’exhorter les populations à s’informer pour éviter les désillusions.

La journée du dimanche 3 avril a été meublée de plusieurs conférences. Celle intitulée « Projets innovants et opportunités d’investissement dans les zones émergentes » a permis à Amoulaye Coulibaly, le Directeur commercial et marketing de CHIM INTER, de présenter les offres de son entreprise.
CHIM INTER est un foncier Agréé et Promoteur Immobilier Agréé. Elle est présente dans toutes les grandes villes de la Côte d’Ivoire. Notamment, Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Korhogo, Daloa, San-Pedro et la région de la Bagoué.

Stéphane Beti

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Economie

Jumia Côte d’Ivoire a un nouveau patron: Mme Caroline PETIT succède à Renaud Glenisson.

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Bruit de chaise musicale chez le leader du e-commerce en Côte d’Ivoire. Une femme désormais aux commandes de l’entreprise leader. L’ex-patron, Renaud Glenisson qui est désormais Directeur général régional supervisant ainsi la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Sénégal, la Tunisie et l’Algérie, passe le flambeau à Mme Caroline Petit.

« Je suis très honorée d’être à la tête d’une talentueuse équipe. Jumia participe depuis quelques années à la transformation de l’économie africaine grâce aux nouvelles technologies. L’e-commerce est en pleine croissance en Côte d’Ivoire. Nous voulons apporter encore plus d’innovations avec notre équipe pour que Jumia reste la destination shopping n°1 de tous les Ivoiriens, partout, sur tout le territoire » sont les premiers mots de Caroline Petit , la nouvelle patronne de Jumia Côte d’Ivoire.

Rappelons que Caroline Petit a rejoint l’entreprise en 2015 en tant que Responsable du Sourcing. De 2016 à 2018, elle a joué un rôleessentiel dans le développement de la marketplace vendeur de ladite société avant d’occuper le poste de COO (Chief Operating Officer) pendant 3 ans en Côte d’Ivoire. Entre 2021 et 2022, elle avait en charge la gestion du Service Clientèle des Ventes groupe et les Ressources Humaines de Côte d’Ivoire. Quelque temps avant de prendre la haute direction, Caroline dirigeait le département de publicité.

Leader dans le e-commerce, Jumia estprésent dans toutes les régions de la Côte d’Ivoire depuis 2012, Jumia Côte d’Ivoire compte aujourd’hui plusieurs centaines d’employés, travaille avec plus de 3000 vendeurs et plus de 100 livreurs et partenaires logistiques. Aujourd’hui, plus de 500 000 produits sont disponibles sur le site de l’entreprise.

A propos de Jumia

“Nous pensons que la technologie a le potentiel de transformer la vie quotidienne en Afrique, pour le meilleur. Nous avons établi Jumia pour aider les consommateurs à avoir accès à des millions de biens et de services de manière pratique et aux meilleurs prix, tout en ouvrant aux vendeurs une nouvelle voie pour atteindre les consommateurs et développer leurs activités. Présent dans onze pays Africains, Jumia est la première plateforme de commerce électronique en Afrique. La “place de marché” est soutenue par notre plateforme logistique et celle du paiement numérique, JumiaPay. Jumia Logistiques permet la livraison continue de millions de colis, tandis que JumiaPay facilite les paiements en ligne et la distribution d’une large gamme de services numériques et financiers” a fait savoir Caroline Petit.

De Kouassi.

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