Connect with us
infocentrale.net

Economie

Economie: La société de notation financière Bloomfield Investment Corporation lance un nouvel outil, ’’Bloomfield Forecast’

Published

on

Le département Bloomfield Intelligence, en charge de la veille économique et de la production des informations nécessaires à la prise de décisions d’investissements au sein du groupe Bloomfield Investment Corporation, a développé au cours de l’ année 2020 un outil économique dénommé Bloomfield-Forecast. Cet outil a été présenté au grand public ce jeudi 15 avril 2021 à Abidjan-Plateau.

Selon Stanislas Zeze, PDG de Bloomfield Investment Corporation, Bloomfield Forecast est un véritable instrument de prévision économique et financier. Il se veut un outil efficace pour faciliter les prises de décisions stratégiques. ’’Bloomfield Forecast est un outil de prévision économique qui permet d’anticiper sur la performance des secteurs d’activité. Il permet de calculer de façon précoce un certain nombre d’agrégats économiques tels que le taux de croissance.’’, a-t-il déclaré.
En clair, Bloomfield Forecast vise à guider les investisseurs et les acteurs du monde économique dans leur prise de décisions en temps réel.
En outre, à en croire le M. Zézé, par cet instrument, Bloomfield Investment Corporation veut tenir informer le monde financier (le secteur privé, les autorités publiques, les partenaires techniques et financiers et les investisseurs) des conditions économiques du moment.

Gohou Danon, sous directeur de Bloomfield Intelligence a dans son intervention expliqué que Bloomfield Forecast entend utiliser les données macro et microéconomiques du marché pour définir les prévisions économiques immédiates et futures.

Et de préciser que, cet outil va servir aussi à prédire les grandes récessions et mettre en exergue leur impact sur des activités spécifiques.

Créée en 2007, Bloomfield Investment Corporation est la première agence de notation financière d’Afrique francophone. Engagée dans la promotion de la transparence financière comme fondement du marché financier régional, cette agence d’évaluation du risque de crédit opère en Afrique de l’Ouest et en Afrique Centrale. Elle compte ainsi parmi ses clients, des Etats africains, des entreprises privées et publiques d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique Centrale ainsi que des entreprises basées en Europe. Ses prestations prennent différentes formes: – les opérations d’évaluation de risque de crédit d’entreprises, d’institutions financières, d’entités publiques, de souverains, et de titres émis. La spécificité de Bloomfield est qu’elle évalue ces différentes entités et institutions en monnaie locale. – L’élaboration de rapports risques pays et rapports sectoriels. Bloomfield Investment Corporation regroupe en son sein de grands départements à savoir Bloomfield Ratings et Bloomfield Intelligence.

Cyprien K.

Continuer la lecture
Click to comment

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Economie

Renouvellement du parc automobile : Amadou Koné met des taxis et permis de conduire à la disposition de la jeunesse

Published

on

Les ministres Amadou Koné et Mamadou Touré ont procédé à la remise de permis de conduire et à la présentation de véhicules à usage taxis communaux aux Entreprises de Transport de jeunes dans le cadre du partenariat entre le Ministère des Transports et le Ministère de la Promotion de la Jeunesse, de l’Insertion Professionnelle et du Service Civique. Un projet de 500 taxis communaux dont 60 ont été présentés aux bénéficiaires issus des Villes de l’intérieur du pays à savoir, Bouaké, Bassam, Daloa, Korhogo, San-Pedro et Yamoussoukro. C’était le jeudi 28 mars 2024 à l’institut national de la jeunesse et des sports ( INJS) à Abidjan Marcory.

Après la réception de 166 taxis, la présente phase de remise de 60 taxis communaux et 125 permis de conduire ce jeudi, marque le début d’un important programme de mise à disposition de 500 taxis communaux en faveur des jeunes dans les différentes villes du pays avec pour cette première vague, les villes de Bouaké, Bassam, Daloa, Korhogo, San-Pedro et Yamoussoukro. Un projet piloté par le fonds de développement du transport routier ( FDTR) et l’Agence Emplois Jeunes.

Il faut noter que ces taxis seront utilisés par binôme, soit 120 personnes qui ont été témoins ce jour de l’action gouvernementale. Ainsi, les 500 taxis créeront 1000 emplois directs et 2000 emplois indirects selon le ministre Amadou Koné.
Dans le cadre de l’année de la jeunesse ( 2023), ce sont 7049 emplois sur 6000 emplois visés dans le secteur des transports pour une perspective de 10.000 emplois en 2024 ou encore 8000 emplois en 2025 avec la densification du transport fluvio-lagunaire et le développement du transport dans les villes secondaires du pays, créés.
« Vous pouvez compter sur le ministère des transports pour l’atteinte de vos objectifs d’impacter 1,5 millions de jeunes dans le cadre du programme jeune du gouvernement PJGOUV 2023-2025 qui a déjà impacté en 2023 près de 700.000 jeunes » a promis le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné à son collègue Mamadou Touré.

Le plaidoyer du ministre Amadou Koné

Outre les efforts déjà consentis par les deux ministères en matière de création d’emplois, le ministre Amadou Koné a saisi l’opportunité de ce partenariat entre le Ministère des Transports et celui de la Promotion de la Jeunesse, de l’Insertion Professionnelle et du Service Civique pour plaider pour aller au-delà des 500 taxis. Car selon lui, les besoins en mobilité rien que sur Abidjan sont importants.
« Sur les 15 millions de déplacements par jour, la capacité actuelle satisfaite est de 7 millions de personnes transportées. Nous continuerons le renforcement bien entendu de la professionnalisation à travers la formation des conducteurs » a-t-il ajouté avant d’exhorter les heureux bénéficiaires de ce vaste programme d’insertion et d’emploi jeune à faire bon usage de ces permis de conduire et de ces taxis.

Sercom Ministère des Transports

Continue Reading

Economie

Transition Énergétique : Amadou Koné salue l’arrivée des véhicules électriques BYD en Côte d’Ivoire

Le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné a salué l’entreprise LOXEA, filiale du groupe CFAO pour l’arrivée des véhicules électriques de la marque leader BYD en Côte d’Ivoire ; un tournant important dans la transition énergétique.
C’était le mercredi 27 mars 2024 au cours de la cérémonie de lancement des véhicules électriques BYD et de l’inauguration du nouveau Showroom LOXEA sis au boulevard de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny, en présence du ministre de l’environnement, du développement durable et de la Transition écologique, ASSAHORE Jacques Konan et des responsables du groupe CFAO.

Published

on

Le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné a salué l’entreprise LOXEA, filiale du groupe CFAO pour l’arrivée des véhicules électriques de la marque leader BYD en Côte d’Ivoire ; un tournant important dans la transition énergétique.
C’était le mercredi 27 mars 2024 au cours de la cérémonie de lancement des véhicules électriques BYD et de l’inauguration du nouveau Showroom LOXEA sis au boulevard de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny, en présence du ministre de l’environnement, du développement durable et de la Transition écologique, ASSAHORE Jacques Konan et des responsables du groupe CFAO.

La Côte d’Ivoire se met petit à petit au vert avec la mise en circulation dans les transports publics urbains, des véhicules 100% électriques et zéro émission de CO2 du fabricant leader mondial chinois BYD. Un tournant énergétique important pour la Côte d’Ivoire au regard de l’évolution du secteur de l’automobile, lutte contre la vétusté du parc et du contexte mondial marqué par la protection de l’environnement à travers la réduction de 28% des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030 suivant l’engagement ivoirien depuis la COP 21.

Rajeunissement du parc automobile et promotion des transports de masse

Depuis quelques années, le gouvernement ivoirien à travers le Ministère des Transports a décidé de prendre à bras le corps la question du rajeunissement du parc automobile et de la Modernisation du transport afin de créer un marché de véhicules neufs en Côte d’Ivoire.

« Ainsi, en vue de lutter contre la vétusté du parc qui est en grande partie à l’origine des émissions de dioxyde de carbone, l’une des principales composantes des gaz à effet de serre, notre pays a adopté le décret N° 2017-792 du 06 décembre 2017 portant limitation de l’âge des véhicules d’occasion importés en Côte d’Ivoire et le décret N° 2017-793 du 06 décembre 2017 portant fixation des durées d’exploitation des véhicules affectés au transports public ou privé de personnes ou de marchandises.

En outre, en vue de réduire le parc des véhicules particuliers, le Gouvernement a entrepris la promotion des modes capacitaires de transport de personnes à travers le Métro et les BRT, en cours de réalisation.

Dans cette dynamique de l’atteinte des objectifs climatiques, l’introduction du concept de transport vert par l’avènement des véhicules électriques, entre autres, s’avère nécessaire et mérite d’être vulgarisé » a souligné le ministre Amadou Koné.

Les conseils du ministre Amadou Koné pour une utilisation harmonieuse des véhicules électriques

Tout en félicitant l’entreprise LOXEA qui, à travers cette soirée de lancement des véhicules électriques, marque une étape dans la transformation du secteur des transports, le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné a rappelé quelques défis à relever pour une utilisation harmonieuse desdits véhicules. Il s’agit :
des infrastructures en vue du rechargement des batteries des véhicules automobiles ;
du recyclage des batteries en fin de vie ;
de la sécurité des véhicules électriques dans la circulation routière ;
de la maintenance desdits véhicules et la formation des acteurs ;
de la fiscalité du secteur les véhicules électriques ;
des mesures incitatives pour le développement du secteur de la mobilité électrique.

En ce qui concerne la base réglementaire, les équipes du Ministère des Transports et toutes les parties prenantes travaillent, selon Amadou KONÉ, actuellement afin de proposer une réglementation de la mobilité électrique dans notre pays.

Les avantages des véhicules électriques

Enfin, le ministre Amadou Koné a exhorté les acteurs du transport en Côte d’Ivoire à s’approprier ce nouveau outil de travail.
«  L’état a mis en place un dispositif, le code d’investissements, qui leur permet d’acheter les véhicules à moindre coût. Je voudrais les encourager à aller vers les véhicules électriques pour des dépenses quatre fois moins qu’avec les véhicules au carburant » a-t-il ajouté.

Selon les responsables de LOXEA, l’entreprise qui vend ces véhicules électriques, le plein d’un véhicule électrique vous coûterait en moyenne 5 fois moins cher que celui d’un véhicule thermique de gamme équivalente. Une vraie révolution et innovation technologique qui non seulement contribuera à la modernisation du secteur de l’automobile en Côte d’Ivoire mais réduira considérablement les émissions mondiales de gaz à effet de serre visant à refroidir la planète de 1 degré Celsius !

Sercom Ministère des Transports

Continue Reading

Economie

La zone de libre-échange ZLECAF et l’e-commerce en Afrique

Published

on

Contribuer à améliorer le niveau de vie dans les pays africains, telle est la raison fondatrice de l’Accord de libre-échange continental africain (ZLECAF). La ZLECAF est le modèle et le plan directeur de l’Afrique pour transformer le continent en une puissance commerciale mondiale pour le futur.

Mais que signifie réellement la ZLECAF pour le commerce électronique ?

L’Afrique compte plus de quatorze blocs économiques avec huit communautés régionales reconnues par l’Union Africaine. Ces blocs régionaux ont tous des lois et des accords commerciaux différents, utilisant des monnaies différentes avec des niveaux de développement et des PNB différents. La priorité de ces blocs économiques est d’assurer la continuité des échanges entre leurs membres et de promouvoir les relations diplomatiques et les aspects de sécurité, entre autres.

Néanmoins, cette « recherche de sécurité » entrave la croissance économique potentielle du continent. Un parfait exemple est le cas des services de commerce électronique. Dans des circonstances normales, les entreprises de e-commerce disposent de capacités de livraison de 24 heures à 3 jours ouvrés sur les territoires nationaux où ils opèrent en fonction de leurs sites d’exploitation et de la superficie du pays donné.

Cela signifie que l’on peut s’attendre à obtenir ses marchandises dans un laps de temps relativement court à un prix beaucoup moins cher que celui trouvé dans un pays voisin et, pire encore, dans une autre communauté économique régionale.

Quelques défis : Si Jumia, la principale plateforme de commerce électronique, par exemple, opère au Kenya et qu’un client en ligne au Nigeria souhaite effectuer des transactions depuis sa plateforme, il recevra généralement son achat après une période relativement longue et avec des contraintes coûteuses ou peut-être jamais (si il n’y a pas de liaison aérienne) que s’il était au Kenya.

Aujourd`hui il est plus facile et moins cher de faire venir à Lagos un conteneur de Anvers en Belgique que de presque n’importe où d’Afrique. Cette différence résulte des blocages économiques mis en place par les communautés économiques régionales incluant les droits de douane, les taxes, la bureaucratie etc.

Favoriser l’intégration commerciale signifie l’élimination des taxes ou du moins une harmonisation législative, des souplesses bureaucratiques et, à terme, un accompagnement gouvernemental pour faciliter les échanges commerciaux.

Ces changements apporteront beaucoup aux entreprises de E-commerce. Jumia par exemple qui ne fait que des livraisons à l’intérieur des pays dans lesquels il est implanté pourrait, après ces changements, livrer des colis de la Côte d’Ivoire au Burkina Faso, du Maroc à ses clients de la Mauritanie à moindre coûts et dans un délai court.

Le commerce électronique africain connaîtra de beaux jours dans les années à venir. Les start-ups africaines opérant dans le secteur du commerce électronique restent prometteuses durant les prochaines années.

Selon le cabinet de conseil en économie numérique TechCabal Insights, dans un rapport publié le 12 octobre 2023, le chiffre d’affaires global des plateformes de commerce électronique actives en Afrique devrait atteindre 59,18 milliards de dollars en 2027 contre 32,49 milliards seulement en 2022 et 13,58 milliards en 2018. Ces start-ups devraient tirer profit de l’essor du secteur des paiements électroniques sur le continent, de l’amélioration des infrastructures et des capacités logistiques après la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).

Emmanuel De Kouassi

Continue Reading

Actualité