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Economie

Côte d’Ivoire : Ye Moussa interpelle:<< L'orpaillage clandestin en Côte d'Ivoire doit cesser >>.

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Assemblée générale du COPEDA à Dabakala

C’est dans l’enceinte de la mairie de Dabakala qu’a eu lieu l’assemblée générale de la coopérative d’entraide de Dabakala avec conseil d’administration (COPEDA COOP CA), le samedi 3 Juillet dernier. Le thème retenu pour cette assemblée générale est  » Le défi d’être leader de l’exploitation artisanale traçable de l’or en Côte d’Ivoire ».

Cette assemblée générale était l’occasion pour le conseil d’administration du COPEDA de dresser le bilan des activités menées durant l’année écoulée.

À cet effet, avant tous propos, le président du COPEDA COOP CA, Ye Moussa a remercié ses partenaires pour leurs présences et soutiens. » Aujourd’hui est un grand jour pour moi et je remercie toutes les autorités pour leurs présences. Notre mandat a été positif car malgré la présence du Covid-19 nous avons pû travailler, alors notre mission a réussi », a t-il fait savoir. pour lui, cette assemblée générale est une occasion pour rappeler à l’ordre les orpailleurs clandestins de la Côte d’Ivoire. » Notre objectif est de montrer au monde entier que l’estraction de l’or n’est pas une activité négative. Les revenus obtenus nous permettent de poser des actions sociales et humanitaires. Toutefois, je demande aux orpailleurs clandestins de venir apprendre afin qu’ils puissent obtenir leurs agréments pour que nous puissions travailler ensemble
Nous demandons à nos frères de quitter l’inégalité afin d’entrer dans la légalité car tous les orpailleurs clandestins doivent arrêter leurs travaux. Ainsi, je demande à l’État de nous accompagner afin que nous puissions sensibiliser les populations sur les conséquences de L’orpaillage clandestin « , a t-il clarifié.
Quant à Kouassi Koffi Benoît, secrétaire général 1 du SYNMASI ( syndicat national du minier artisanal et semi-industriel de Côte d’Ivoire) a expliqué le rôle du syndicat dans la lutte contre L’orpaillage clandestin. » Le rôle du syndicat est de lutter contre la fuite des capitaux. C’est pourquoi, nous demandons aux autres structures de suivre l’exemple du COPEDA en s’octroyant des agréments afin de pouvoir exercer librement et de bénéficier des mesures d’accompagnement du ministère de tutel. Nous sillonnons toutes les contrées afin de sensibiliser nos populations sur l’importancede l’extraction de l’or dans la légalité car L’orpaillage est un métier qui rend autonome. Depuis l’avènement du syndicat, 98 associations ont vue le jour », a t-il signifié.

Cette initiative a été saluée par Inza Touré, représentant des chefs cantons du département de Dabakala.  » Je suis heureux aujourd’hui car à travers les actions menées par le COPEDA, Dabakala est en plein développement. Certes, dans les débuts c’était difficile mais avec leurs abnégations aujourd’hui beaucoup de jeunes sont sortis de leurs conditions de précarité. J’exhorte d’autres structures à emboîter le pas afin que le progrès avance dans notre localité », a t-il exprimé.

Cette assemblée générale s’est achevée à travers un planning d’arbre afin de préserver l’environnement.

Stéphane Kouakou

Economie

Transition Énergétique : Amadou Koné salue l’arrivée des véhicules électriques BYD en Côte d’Ivoire

Le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné a salué l’entreprise LOXEA, filiale du groupe CFAO pour l’arrivée des véhicules électriques de la marque leader BYD en Côte d’Ivoire ; un tournant important dans la transition énergétique.
C’était le mercredi 27 mars 2024 au cours de la cérémonie de lancement des véhicules électriques BYD et de l’inauguration du nouveau Showroom LOXEA sis au boulevard de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny, en présence du ministre de l’environnement, du développement durable et de la Transition écologique, ASSAHORE Jacques Konan et des responsables du groupe CFAO.

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Le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné a salué l’entreprise LOXEA, filiale du groupe CFAO pour l’arrivée des véhicules électriques de la marque leader BYD en Côte d’Ivoire ; un tournant important dans la transition énergétique.
C’était le mercredi 27 mars 2024 au cours de la cérémonie de lancement des véhicules électriques BYD et de l’inauguration du nouveau Showroom LOXEA sis au boulevard de l’aéroport international Félix Houphouët-Boigny, en présence du ministre de l’environnement, du développement durable et de la Transition écologique, ASSAHORE Jacques Konan et des responsables du groupe CFAO.

La Côte d’Ivoire se met petit à petit au vert avec la mise en circulation dans les transports publics urbains, des véhicules 100% électriques et zéro émission de CO2 du fabricant leader mondial chinois BYD. Un tournant énergétique important pour la Côte d’Ivoire au regard de l’évolution du secteur de l’automobile, lutte contre la vétusté du parc et du contexte mondial marqué par la protection de l’environnement à travers la réduction de 28% des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030 suivant l’engagement ivoirien depuis la COP 21.

Rajeunissement du parc automobile et promotion des transports de masse

Depuis quelques années, le gouvernement ivoirien à travers le Ministère des Transports a décidé de prendre à bras le corps la question du rajeunissement du parc automobile et de la Modernisation du transport afin de créer un marché de véhicules neufs en Côte d’Ivoire.

« Ainsi, en vue de lutter contre la vétusté du parc qui est en grande partie à l’origine des émissions de dioxyde de carbone, l’une des principales composantes des gaz à effet de serre, notre pays a adopté le décret N° 2017-792 du 06 décembre 2017 portant limitation de l’âge des véhicules d’occasion importés en Côte d’Ivoire et le décret N° 2017-793 du 06 décembre 2017 portant fixation des durées d’exploitation des véhicules affectés au transports public ou privé de personnes ou de marchandises.

En outre, en vue de réduire le parc des véhicules particuliers, le Gouvernement a entrepris la promotion des modes capacitaires de transport de personnes à travers le Métro et les BRT, en cours de réalisation.

Dans cette dynamique de l’atteinte des objectifs climatiques, l’introduction du concept de transport vert par l’avènement des véhicules électriques, entre autres, s’avère nécessaire et mérite d’être vulgarisé » a souligné le ministre Amadou Koné.

Les conseils du ministre Amadou Koné pour une utilisation harmonieuse des véhicules électriques

Tout en félicitant l’entreprise LOXEA qui, à travers cette soirée de lancement des véhicules électriques, marque une étape dans la transformation du secteur des transports, le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné a rappelé quelques défis à relever pour une utilisation harmonieuse desdits véhicules. Il s’agit :
des infrastructures en vue du rechargement des batteries des véhicules automobiles ;
du recyclage des batteries en fin de vie ;
de la sécurité des véhicules électriques dans la circulation routière ;
de la maintenance desdits véhicules et la formation des acteurs ;
de la fiscalité du secteur les véhicules électriques ;
des mesures incitatives pour le développement du secteur de la mobilité électrique.

En ce qui concerne la base réglementaire, les équipes du Ministère des Transports et toutes les parties prenantes travaillent, selon Amadou KONÉ, actuellement afin de proposer une réglementation de la mobilité électrique dans notre pays.

Les avantages des véhicules électriques

Enfin, le ministre Amadou Koné a exhorté les acteurs du transport en Côte d’Ivoire à s’approprier ce nouveau outil de travail.
«  L’état a mis en place un dispositif, le code d’investissements, qui leur permet d’acheter les véhicules à moindre coût. Je voudrais les encourager à aller vers les véhicules électriques pour des dépenses quatre fois moins qu’avec les véhicules au carburant » a-t-il ajouté.

Selon les responsables de LOXEA, l’entreprise qui vend ces véhicules électriques, le plein d’un véhicule électrique vous coûterait en moyenne 5 fois moins cher que celui d’un véhicule thermique de gamme équivalente. Une vraie révolution et innovation technologique qui non seulement contribuera à la modernisation du secteur de l’automobile en Côte d’Ivoire mais réduira considérablement les émissions mondiales de gaz à effet de serre visant à refroidir la planète de 1 degré Celsius !

Sercom Ministère des Transports

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Economie

La zone de libre-échange ZLECAF et l’e-commerce en Afrique

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Contribuer à améliorer le niveau de vie dans les pays africains, telle est la raison fondatrice de l’Accord de libre-échange continental africain (ZLECAF). La ZLECAF est le modèle et le plan directeur de l’Afrique pour transformer le continent en une puissance commerciale mondiale pour le futur.

Mais que signifie réellement la ZLECAF pour le commerce électronique ?

L’Afrique compte plus de quatorze blocs économiques avec huit communautés régionales reconnues par l’Union Africaine. Ces blocs régionaux ont tous des lois et des accords commerciaux différents, utilisant des monnaies différentes avec des niveaux de développement et des PNB différents. La priorité de ces blocs économiques est d’assurer la continuité des échanges entre leurs membres et de promouvoir les relations diplomatiques et les aspects de sécurité, entre autres.

Néanmoins, cette « recherche de sécurité » entrave la croissance économique potentielle du continent. Un parfait exemple est le cas des services de commerce électronique. Dans des circonstances normales, les entreprises de e-commerce disposent de capacités de livraison de 24 heures à 3 jours ouvrés sur les territoires nationaux où ils opèrent en fonction de leurs sites d’exploitation et de la superficie du pays donné.

Cela signifie que l’on peut s’attendre à obtenir ses marchandises dans un laps de temps relativement court à un prix beaucoup moins cher que celui trouvé dans un pays voisin et, pire encore, dans une autre communauté économique régionale.

Quelques défis : Si Jumia, la principale plateforme de commerce électronique, par exemple, opère au Kenya et qu’un client en ligne au Nigeria souhaite effectuer des transactions depuis sa plateforme, il recevra généralement son achat après une période relativement longue et avec des contraintes coûteuses ou peut-être jamais (si il n’y a pas de liaison aérienne) que s’il était au Kenya.

Aujourd`hui il est plus facile et moins cher de faire venir à Lagos un conteneur de Anvers en Belgique que de presque n’importe où d’Afrique. Cette différence résulte des blocages économiques mis en place par les communautés économiques régionales incluant les droits de douane, les taxes, la bureaucratie etc.

Favoriser l’intégration commerciale signifie l’élimination des taxes ou du moins une harmonisation législative, des souplesses bureaucratiques et, à terme, un accompagnement gouvernemental pour faciliter les échanges commerciaux.

Ces changements apporteront beaucoup aux entreprises de E-commerce. Jumia par exemple qui ne fait que des livraisons à l’intérieur des pays dans lesquels il est implanté pourrait, après ces changements, livrer des colis de la Côte d’Ivoire au Burkina Faso, du Maroc à ses clients de la Mauritanie à moindre coûts et dans un délai court.

Le commerce électronique africain connaîtra de beaux jours dans les années à venir. Les start-ups africaines opérant dans le secteur du commerce électronique restent prometteuses durant les prochaines années.

Selon le cabinet de conseil en économie numérique TechCabal Insights, dans un rapport publié le 12 octobre 2023, le chiffre d’affaires global des plateformes de commerce électronique actives en Afrique devrait atteindre 59,18 milliards de dollars en 2027 contre 32,49 milliards seulement en 2022 et 13,58 milliards en 2018. Ces start-ups devraient tirer profit de l’essor du secteur des paiements électroniques sur le continent, de l’amélioration des infrastructures et des capacités logistiques après la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).

Emmanuel De Kouassi

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Côte d’Ivoire/ SICI 2024 : Le PDG de CHIM INTER se réjouit de l’engouement suscité par ce salon

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La 7e édition du Salon de l’immobilier de Côte d’Ivoire (SICI), s’est tenue au Parc des Expositions d’Abidja, le dimanche 03 mars 2024 avec la participation de l’entrepriseimmobilière Chim-Inter.

Le succès populaire de ce rendez-vous qui a tenu en haleine les professionnels de l’immobilier durant 2 jours, n’a laissé indifférent Yamoussa Coulibaly, le Président directeur général de Challenge Immobilier International (CHIM INTER) qui n’a cesse manqué de l’expeimer une fois devant la la presse.

Selon le patron de ce fleuron du secteur de l’immobilier, le déplacement massif des populations au SICI 2024 est le signe d’une ère nouvelle dans le secteur. « Nous nous réjouissons de l’engouement des populations. Les nombreux visiteurs qui ont pris d’assaut le stand de CHIM INTER et ceux des autres exposants du salon sont la preuve que les ivoiriens ont compris l’importance d’être propriétaire dans le foncier et dans l’immobilier. Cela nous conforte, en tant qu’entrepreneur, dans le choix que nous avons fait de travailler pour les populations », a-t-il fait savoir.

En outre, M. Coulibaly a exprimé sa gratitude aux promoteurs et au Ministère de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme (MCLU) pour cette plateforme de rencontre entre les acteurs de la chaîne de valeur de l’immobilier. « Ce salon est une opportunité pour les entreprises ivoiriennes des secteurs du foncier et de l’immobilier de montrer ce qu’elles savent faire pour contribuer efficacement au développement de leur pays. Nous remercions notre tutelle qui nous tend la main. CHIM INTER accompagne le ministère dans les campagnes de proximité à travers la Côte d’Ivoire et nous allons continuer. Notre mission est de permettre à chaque ivoirien, quel que soit son pouvoir financier, d’acquérir des biens fonciers et immobiliers en Côte d’Ivoire », a-t-il conclu.

Gba Téan, le Directeur de Cabinet du MCLU, a également, décerné des lauriers aux organisateurs du SICI. « Je félicite les promoteurs pour la qualité de l’organisation. Le choix des thématiques est adapté pour pouvoir répondre à la question du besoin important de logement dans notre pays », s’est-il félicité.

Poursuivant, le collaborateur du ministre Bruno Koné a égrené quelques réformes et actions engagées par son département pour accroître le bien-être des ivoiriens. Il a cité, entre autres, les obligations, en milieu urbain, d’avoir un permis de construire, de recourir à un architecte et à un bureau de contrôle pour les bâtiments d’au moins rez plus 2, le renforcement des contrôles, la transformation de la Sicogi en Agence nationale de l’habitat (ANAH) pour être plus opérationnelle, la mise en place d’un fonds de garantie du logement social pour prendre en compte les ménages à faibles revenus, la recapitalisation de la Banque de l’habitat de Côte d’Ivoire (BHCI) pour relancer son activité de financement du secteur de l’habitat. Avant d’exhorter les populations à s’informer pour éviter les désillusions.

La journée du dimanche 3 avril a été meublée de plusieurs conférences. Celle intitulée « Projets innovants et opportunités d’investissement dans les zones émergentes » a permis à Amoulaye Coulibaly, le Directeur commercial et marketing de CHIM INTER, de présenter les offres de son entreprise.
CHIM INTER est un foncier Agréé et Promoteur Immobilier Agréé. Elle est présente dans toutes les grandes villes de la Côte d’Ivoire. Notamment, Abidjan, Yamoussoukro, Bouaké, Korhogo, Daloa, San-Pedro et la région de la Bagoué.

Stéphane Beti

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