L’institut universitaire Saint Jean Paul II ouvre ses portes dans la cité de Nanan Djah Houphouët Boigny dès la rentrée universitaire 2021-2022. La recherche de l’excellence doit guider la vie de tout être humain depuis son plus jeune âge jusqu’à ses derniers jours. Pour couronner cette pensée, les responsables de l’Association pour la Promotion de la Recherche et l’Enseignement (A.P.R.E.) ont entrepris investir dans le secteur de la formation et la recherche du savoir. Ce vendredi 11 juin 2021, elle a procédé à l’ouverture de sa première institut universitaire dans la capitale politique et administrative Ivoirienne, Yamoussoukro.
L’institut universitaire Saint Jean Paul II, est un établissement privé laïc à dimension internationale grâce à son partenariat avec des universités françaises et nord Américaines. Elle veut promouvoir la culture intellectuelle et celle de la recherche scientifique des jeunes générations de la Côte d’Ivoire et au-delà du continent.
A la rentrée prochaine, l’Institut Universitaire Saint Jean Paul II s’apprête à accueillir les étudiants dans les filières de Droit, Science Economique, Gestion et Philosophie en années de licence et de Master. Cet établissement se défini comme une institut de formation de qualité qui va permettre aux étudiants sortis de ses écoles de devenir parfaitement bilingues, et continuez à l’étranger tout comme ils pourront accéder aux diplômes internationaux a partir de la Côte d’Ivoire.
A en croire au Directeur de l’IU ST JP II, professeur Ezoua, les partenariats avec les universités Européennes et américaines sont déjà conclus. Les enseignants de ces universités viendront diffuser des cours et certains le feront a travers les nouvelles technologies. En termes de coût d’écolage, le professeur Ezoua dit faire le social afin de permettre, même au plus démunis de pouvoir s’inscrire à l’université Saint Jean Paul II.
C’est l’Évêque du Diocèse d’Agboville qui a livré les prières de bénédiction divine et consacré l’établissement.
L’IEP Kamelan Bosson Phillipe , est le nouveau inspecteur de l’enseignement primaire et préscolaire de Facobly , qui a pris fonction récemment , en remplacement , de Téré Jean Frédéric .Lequel à son tour a été affecté , à l’inspection de l’enseignement primaire et préscolaire de Man-Libreville .
Le mercredi , 20 septembre 2023, l’IEP de Facobly a eu à échanger avec la presse, avec pour sujet principal la visite inopinée instituée par la ministre de l’éducation nationale et de l’alphabétisation ,Koné Marietou . Système applicable à partir de cette rentrée scolaire 2023-2024, dans nos établissements primaires . Le chef de la circonscription primaire et préscolaire de Facobly , a fait l’historique de cette trouvaille de sa tutelle , qui n’est qu’un moyen selon lui de mettre tous les agents au travail. » Quand on sait que c’est une stratégie pour emmener tout le personnel au travail bien fait , au respect du quantum horaire, on ne peut que saluer son avènement . En réalité ce n’est pas une réforme , c’est un vieux système que madame la ministre veut revaloriser en vue de bons résultats scolaires . C’est seulement les syndicats des enseignants qui essayent de le modifier et le conditionner » a fait savoir l’IEP de Facobly .
Le représentant de madame la ministre de l’éducation nationale et de l’alphabétisation à Facobly ,a également abordé le sujet concernant la formation des enseignants du privé . C’est important que le personnel du privé ait le niveau requis pour enseigner . C’était la préoccupation de l’IEP de Facobly, lors de sa prise de contact avec les écoles privées de sa circonscription » Les concernant la visite inopinée , se déroule bien déjà . Dans les écoles privées la ponctualité et l’assiduité sont de mise, puisque le personnel est payé par heure de travail . S’ils sont bien formés ce sera de bonne guerre pour tout le système » a rappelé Kamelan Bosson Phillipe . Avant de s’engager lui-même dans la continuité par rapport aux bons résultats scolaires réalisés par son prédécesseur .
C’est par un appel , à tous pour le respect du slogan : » des citoyens responsables pour une école de qualité » qu’il a terminé son entretien avec les journalistes .
Face à certaines rumeurs qui circulent sur les réseaux sociaux accusant son établissement de fermeture, Dr Kouakou Marcelin, directeur général des établissements Henri Poincaré est monté au créneau pour démentir cette information afin de rassurer les parents d’élèves et les enseignants. Ce démenti a été apporté, le mercredi 02 août 2023 au cours d’une conférence de presse, qu’il a animé dans une des salles de son établissement accompagné de ses directeurs d’études du secondaire et du supérieur. À cette occasion, Dr Kouakou Marcellin a révélé l’origine de cette rumeur:<< Dans le mois de mars, nous avons constaté sur les réseaux des informations faisant état d’une menace de fermeture de nos établissements et nous avons très vite réagi face à cette fausse information. Malheureusement, cet acte de diffamation à notre égard à ressurgi en cette période d’affectation des élèves mettant à mal les parents d’élèves et les enseignants >>, a t-il fait savoir. Face à cette information, Dr Kouakou Marcellin a indiqué que son établissement ne fait face à aucune sanction d’aucun ministère: << Nous n’avions reçu aucune décision de fermeture. Nous ne sommes sous aucune menace de fermeture de la part du ministère de l’éducation nationale et de l’alphabétisation ni du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. La preuve est que nous avons déjà reçu des affectations en 6ème pour la rentré scolaire 2023-2024. Alors, Il n’y a aucune sanction qui pèse sur nous >>, a-t-il démenti. Par ailleurs, il a rassuré les parents d’élèves et les enseignants que son établissement fonctionne correctement:<< Nous rassurons les parents et les élèves que nous avons toujours fonctionné correctement. Nous leur demandons de nous faire confiance, car nous allons toujours travailler pour donner de meilleurs résultats. Nous allons toujours nous battre pour que nos établissements soient à un certain niveau de responsabilité >>, a-t-il rassuré.
Une classe de 12 élèves au Baccalauréat composant la première promotion Technique de la filière G1 (secrétariat) de l’Institut Technique et Professionnel Kouakou Aurelie de Yamoussoukro rejetée au Bac faute des moyennes non exportées.
L’Institut Technique et Professionnel Kouakou Aurelie de Yamoussoukro est accusé d’avoir été manifestement léger dans le traitement des dossiers des élèves candidats au Baccalauréat G1.
Au nombre de douze, des élèves inscrits régulièrement à l’Institut Technique et Professionnel Kouakou Aurelie de Yamoussoukro se sont vu refusé le Bac G1 parce que leurs moyennes Générales Annuelles n’a été exporté par l’Établissement.
Parmi les 340 213 élèves au plan national qui ont candidatés cette année au baccalauréat 2023, 12 candidats présentés par cet établissement, pour défaut de prise en compte de leurs moyennes de classe, viennent d’échouer aux grands d’âmes de leurs parents. Ainsi, à la proclamation des résultats du lundi 24 juillet dernier, tous les 12 candidats se sont vus refusé le Bac. Un échec général alors que certains remplissaient les conditions de repêchage, les moyennes générales annuelles obtenues en classe n’ont pas été exportées vers les fichiers de l’éducation nationale. Que s’est-il passé ? Est-ce une négligence de la direction de cet institut ? Ou une faille de l’application d’exportation de fichiers ?
Nous nous évertuons à rechercher les causes de cette bévue et à situer les responsabilités. Au demeurant, les réclamations faites, le « Directeur des études rejette responsabilités sur son informaticien qui lui accuse l’application d’exportation des fichiers », rapportent les victimes. Selon une source poche de la Direction régionale de l’Enseignement Technique et de la Formation professionnelle de Yamoussoukro :« les responsables de L’Institut Technique et Professionnelle Kouakou Aurelie auraient été interpellés à maintes reprises sur l’absence des moyennes générales Annuelles de leurs candidats, mais aucune réaction n’a fuité jusqu’à ce que le délai soit épuisé ».
Cet établissement qui aurait soutiré à chacun des 10 élèves affectés de l’État sur 12 candidats, une somme de 85.000 FCFA comme frais d’inscription, frais annexes et le droit d’examen a manqué de vigilance sur l’essentiel. Alors que l’exportation des moyennes Générales annuelles de ces élèves en classe de terminale s’avère insatisfaite, bien que prioritaire, vu que ceux-ci étaient des candidats officiels. Cette exigence du ministère de l’Éducation nationale n’ayant pas été exécutée, la problématique est posée. Suscitant ainsi plusieurs interrogations. Comment ces responsables auraient-ils pu négliger cet aspect important de la phase première des examens ?
Dans la matinée du mardi 1 août, les élèves se sont rendu à la préfecture de région pour présenter leur situation au représentant du chef de l’État afin de bénéficier de l’intervention de l’autorité compétente. À la sortie de cette rencontre, ils ont confié ceci. « Nous sommes vraiment dans le désarroi face à ce qui nous arrive. Nous avons tous eu nos moyennes de classe. La plus petite moyenne parmi nous est 10. À notre grande surprise, aucun n’a eu sa moyenne générale annuelle (MGA) reportée sur sa collante. Nous avons tous zéro (0) de moyenne comme MGA. L’école n’a pas exporté nos moyennes » a regretté la porte-parole de la classe.
Poursuivant, elle a expliqué que « Nous avons fait des réclamations et le Directeur a promis exporter nos moyennes afin d’être pris en compte. Le lundi 31 juillet, les résultats des réclamations n’ont rien changé des premiers. Ne sachant pas à quel sort se vouer, nous sommes venus voir Monsieur le Préfet pour nous aider à toucher madame le ministre. Nous voulons qu’elle intervienne pour que justice soit faite » a-t-elle plaidé.
Interrogé au téléphone le lundi 01 aout 2022 à 12 h 28 mn, Bamba Elinder, Directeur des études de L’Institut Technique et Professionnel Kouakou Aurelie de Yamoussoukro s’est carrément désengagé de toute responsabilité et refuse de se prononcer : « Ce n’est pas notre faute, mais on ne peut pas parler au téléphone. Venez à l’école, on va parler » a-t-il lancé avant de souhaiter qu’on le rappelle le lendemain à 9 h pour voir s’il sera disponible ou pas pour nous recevoir.
Quant au fondateur, Kouamé Kouassi Philippe, il a dit ne pas s’y connaitre en matière d’informatique. Mais le Directeur des études aurait exporté les moyennes, le mécanisme de l’application a dû avoir un dysfonctionnement. Toutefois, il regrette le fait que les établissements de formation technique n’ont pas été formés sur l’usage des applications aussi important pour l’avenir des élèves. Il compte se rendre Abidjan à la DECO dès le jeudi 03 aout 2023 avec le secret espoir de résoudre ce gros incident.
Somme toute, l’on continue de s’interroger sur les parts de responsabilités dans ce fâcheux imbroglio: qui d’entre l’institut Technique et Professionnel Kouakou Aurelie et la DRENA de Yamoussoukro a-t-il commis cette grave erreur ?