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UNESCO/ Semaine africaine

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Le Groupe Afrique honore la Côte d’Ivoire et son président

Débutée le lundi 23 mai, l’édition 2022 de la Semaine africaine qui célèbre la date de création de l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) devenue en 2002 Union africaine, a tenu toutes ses promesses au siège de l’UNESCO, à Paris.

En effet, des expositions d’artistes et artisans africains (œuvres picturales, produits locaux, créations artistiques, défilés de mode, cuisine) aux panels, en passant par les projections de films et les prestations musicales et chorégraphiques, l’événement a drainé un beau public, ravi d’être servi de richesses culturelles variées.

Le Groupe Afrique, constitué par les Etats-membres africains de l’UNESCO, et organisateur de la Semaine, a choisi, à l’unanimité, le Président ivoirien, SEM Alassane Ouattara, comme parrain de l’édition 2022. Et, le choix de la thématique centrale, dans la résonance de celui de l’Union africaine, s’est porté sur « L’autosuffisance, la résilience et le développement économique de l’Afrique ».

La présidente du comité d’organisation de cette Semaine africaine, SEMme Bakayoko-Ly Ramata a souligné que le choix SEM Alassane Ouattara comme parrain « est comme une distinction pour saluer l’ensemble de ses œuvres au profit de l’Afrique. C’est une reconnaissance que lui manifeste le Groupe Afrique pour souligner son engagement dans la relance économique et la réduction de la pauvreté en Afrique, pour sa contribution à la paix et surtout pour son leadership incontestable. »

Prenant la parole, le président du Groupe Afrique, SEM Souleymane Jules Diop, Délégué permanent du Sénégal auprès de l’UNESCO, a abondé dans le même sens, en ces termes : « Nous envions à la Côte d’Ivoire son brassage culturel, son ouverture et nous remercions chaleureusement le Président Ouattara, notre parrain, pour son leadership ».

La ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, représentant le parrain, a dit qu’il importe de conjuguer « les efforts pour une Afrique resplendissante et ouverte sur le monde » avant de déclarer ouverte la Semaine africaine.

Les Conférences inaugurales ont été animées par M. Akinwumi Ayodeji Adesina (visio-conférence) président de la Banque Africaine de Développement et M. Wildrid Lauriano Do Rego, coordonnateur du Conseil présidentiel pour l’Afrique-Elysée sur « L’autosuffisance, la résilience et le développement économique en Afrique », suivies d’un panel sur la transformation des matières premières.

Cette Semaine, relevons-le, qui se tiendra du lundi 23 au mercredi 25 mai 2022, vise à promouvoir, à tous les niveaux, l’intégration de l’Afrique par la coopération et à célébrer des personnalités africaines et les réalisations de l’UNESCO sur le continent. Plusieurs ministres africains ont pris part aux activités de la Semaine, notamment les ministres ivoiriens Siandou Fofana, Françoise Remarck ainsi que SEM Bandaman Maurice, ambassadeur de la Côte d’Ivoire en France.

  L’évènement a permis de mettre en valeur la richesse du patrimoine et de la diversité culturelle africaine tout en prônant le rapprochement entre les peuples prendra fin aujourd’hui avec la cérémonie de clôture présidée par le Premier ministre ivoirien, Patrick Achi. Une prestation des danseurs du Zaouli musique et danse inscrites au patrimoine de l’UNESCO, et bien d’autres animations musicales et défilés de mode sont également prévus à la soirée de Gala.

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Éducation Nationale en Côte d’Ivoire : vers la régionalisation-académisation de l’administration scolaire

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C’est l’une des recommandations des États généraux de l’éducation nationale et de l’alphabétisation ( EGENA) organisés du 19 juillet 2021 au 13 avril 2022 et dont les conclusions ont été adoptées par le conseil des ministres du 23 mai 2023 : Relever le défi d’une école apaisée et performante à travers l’amélioration du déploiement des enseignants là où leur présence est nécessaire en recrutant davantage au niveau régional et en assurant une gestion plus rationnelle par l’académisation de l’administration scolaire.
Le lancement officiel du concours régional d’entrée dans les centres d’Animation et de formation pédagogique au titre des instituteurs adjoints ( CAFOP-IA) Session 2024, par la ministre ivoirienne de l’éducation nationale et de l’alphabétisation le Pr. Mariatou Koné, le samedi 23 mars 2024 à Odienné marque ainsi l’opérationnalisation du recrutement régionalisé tel que rappelé dans la feuille de route 2024 du Ministère de l’éducation nationale et de l’alphabétisation ( MENA), actualisation des normes et plans types standards de la Carte Scolaire.

« Les citoyens sont capables de contribuer au développement socio-économique de leur communauté et de la société ivoirienne, de promouvoir la cohésion sociale et assurer sa capacité de compétitivité et d’innovation technologique », la vision du ministre de l’éducation nationale et de l’alphabétisation, le Pr. Mariatou Koné vise à améliorer le système éducatif grâce à une gestion efficiente et au leadership. Ce qui se traduit sur le terrain par l’accès accru pour tous les enfants et adultes à une éducation de qualité, équitable et inclusive, mais également une répartition équitable des enseignants dans les régions.
Ainsi, la régionalisation de l’éducation par le biais du CAFOP-IA 2024 ouvre la voie à un système éducatif plus inclusif, dynamique et adapté aux besoins spécifiques de chaque région, une innovation sinon un nouveau départ en faveur d’une école ivoirienne performante et en réponse à la problématique des disparités dans la répartition des enseignants au niveau national.

Une transition pour relever plusieurs défis majeurs

Soulignant l’importance de cette transition, la ministre Mariatou Koné a dit : « La formation des enseignants dans leur région d’origine permettra une meilleure compréhension des réalités locales et contribuera à une éducation plus pertinente et efficace pour nos élèves ».

Tout savoir sur le mode opératoire du recrutement régionalisé

Etablir l’équité territoriale dans l’accès aux ressources humaines issues des CAFOP. Tel est l’objectif du recrutement régionalisé lancé officiellement le 27 décembre 2023, l’une des recommandations des Etats Généraux de l’Education Nationale et de l’Alphabétisation (EGENA) et qui connaît sa phase active avec l’organisation de la session 2024 du concours direct d’entrée dans les CAFOP.
En effet, après l’étape de la pré-inscription lancée du 27 décembre 2023 au 9 février 2024, suivie de la constitution des dossiers de candidature dans les différentes DRENA en janvier-février 2024 et la publication de la liste des candidats autorisés à concourir le 12 mars 2024, la ministre Mariatou Koné a procédé au lancement officiel des épreuves écrites le samedi 23 mars à Odienné en présence des Ministres Nassénéba Touré ( Femmes, Famille et Enfants), Adama Camara ( Emploi et protection sociale) et du ministre gouverneur du district du Denguelé, Gaoussou Touré.
Il s’agit pour le candidat :
De composer dans la ville rattachée à la Direction Régionale de l’Education Nationale et de l’Alphabétisation (DRENA) de son choix, selon les postes budgétaires définis dans la cartographie des besoins publiée par voie de presse ;
Une fois admis, l’apprenant suivra sa formation pour une durée de trois ans dans le CAFOP rattaché à la DRENA conformément à son choix exprimé lors de son inscription au concours ;

Mais avant cela il prendra d’office service, à l’issue de la certification de sa formation, dans une Inspection de l’Enseignement Préscolaire et Primaire (IEPP) de la DRENA, choisie précédemment, pour une période de dix années consécutives à partir de la première date de prise de service). Toutefois, trois années après sa première prise de service dans l’IEPP, l’instituteur pourra participer s’il, le désire, à l’Inéat (Mouvement dans les IEPP au sein du district et de la région).

Les effectifs de candidats pour la session 2024

Le nombre total de candidats pour la session 2024 est de 61 862, pour 6 000 postes, contre 66 823 en 2023, pour 7 000 postes.

L’année 2023, déclarée année de la jeunesse, a bénéficié d’une mesure spéciale avec le relèvement de l’âge limite du concours porté à 38 ans, au lieu de 36, pour 7 000 postes au lieu des 5 000 habituels.
Sur les 61 862 candidats, composant dans 131 centres, on dénombre 33 588 filles (54,30%) et 28 274 garçons (45,70%).

Pour la session 2024, la répartition géographique donne :
24 710 candidats pour les quatre DRENA de la ville d’Abidjan (39,94%) contre 34 887 en 2023 ;
37 152 candidats pour les villes de l’intérieur (60,06%) contre 31 936 en 2023.

Statistiques des centres de composition du Lycée Moderne d’Odienné 1 et 2 (District du Denguélé)

Nombre total de candidats : 554, dont 261 filles (47,1&%) et 293 garçons (52,89%)

Cette inversion de la tendance, avec un nombre de candidats plus important à l’intérieur du pays que dans la ville d’Abidjan, montre que les candidats ont bien perçu la pertinence de ce mode de recrutement qui introduit l’équité dans la répartition des ressources en personnel enseignant entre les différentes régions du pays.

C’est donc à juste titre que cette innovation qui traduit la vision du renforcement de la qualité de l’école ivoirienne du ministre Mariatou Koné a été saluée par tous les acteurs du secteur éducatif.

L’école de qualité et de mérite

Attachée à la rigueur et à l’éclosion des compétences, Mariatou Koné a pris des dispositions pour encourager le mérite lors des compostions.
« Il faut compter sur le travail personnel et non sur des parrains ou des marraines pour espérer réussir lorsqu’on n’a pas fourni les efforts qu’il faut pour atteindre les résultats escomptés. Ne pas compter non plus sur la fraude et la tricherie, car la vigilance est de mise dans les centres de composition.
L’école de qualité et de mérite, dans la transparence et l’équité, se construit d’abord à travers ce concours qui vise à recruter ceux qui vont constituer le socle de notre système éducatif qui est le cycle préscolaire et primaire.
Bonne chance à toutes les candidates et à tous les candidats » a déclaré la ministre Mariatou Koné.
Rappelons enfin que 76 841 enseignants ont été recrutés de 2013 à 2023, soit en 12 ans de pouvoir du RHDP et du président Alassane Ouattara.

Sercom Mariatou KONÉ

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Boundiali, ville éducative : Mariatou KONE offre une école primaire et une maternelle au groupe scolaire Ibrahim Koné

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C’est une promesse de campagne tenue et un ouf de soulagement pour les parents et élèves de Boundiali (nord). La ministre de l’éducation nationale et de l’alphabétisation, Pr. Mariatou Koné, maire de la commune de Boundiali a procédé à la remise des clés d’un ensemble d’infrastructures éducatives composées d’un bâtiment de trois classes, un bloc latrine de quatre cabines, une école maternelle et un magasin, le tout construit en géo-béton de type auto-flottant, à la Drena de Boundiali. C’était le vendredi 22 mars 2024 au groupe scolaire Ibrahim Koné.

« Absorber le surplus d’effectifs dans les salles de classes pour améliorer la qualité de la formation dispensée dans cette école » c’est la principale motivation de madame le maire de ville de Boundiali, Pr. Mariatou Koné, en offrant une école primaire et une école maternelle supplémentaires à l’école primaire Ibrahim Koné de Boundiali dont les clés ont été remises ce vendredi 22 mars 2024. Une école devenue groupe scolaire suite à la promesse électorale faite aux parents d’élèves et acteurs de l’éducation nationale de Boundiali par le maire Mariatou Koné en 2018.

Une promesse électorale et le PAPSE

Elue maire de la commune de Boundiali en octobre 2018, alors qu’elle était encore ministre de la solidarité, de la cohésion sociale et de la lutte contre la pauvreté, Mariatou Koné avait déjà un rêve pour Boundiali : faire de la capitale de la région de la Bagoué, une ville éducative par excellence.

Ainsi, sous son impulsion, ce sont plus de dix écoles primaires, un lycée et deux collèges qui ont été construits à Boundiali. Une promesse électorale quelle continue d’honorer en s’appuyant sur le projet d’amélioration de la prestation des services éducatifs (PAPSE) lancé en juin 2018 et qui repose sur six (6) piliers que sont : l’innovation pédagogique ; la construction d’infrastructures préscolaires et scolaires ; la promotion de la lecture et des mathématiques ; le renforcement des capacités des enseignants ; la distribution de kits et bourses scolaires gratuits et la gouvernance participative de l’école par l’implication des communautés.

Enfin, devenue Ministre de l’éducation nationale et de l’alphabétisation en avril 2021, c’est toujours dans cette quête de transformer qualitativement le système éducatif en Côte d’Ivoire et à Boundiali que s’inscrit donc le développement de l’école primaire Ibrahim Koné, du nom du défunt ancien maire de Boundiali.

Mariatou Koné, l’humilité et la rigueur du travail

« Si aujourd’hui, nous faisons tout notre possible pour hisser Boundiali au rang des villes modernes et enviées de la Côte d’Ivoire, c’est tout simplement parce que nos prédécesseurs ont tracé de bons sillons. Ils nous ont légué un lourd héritage que nous devrons assumer avec fierté » a déclaré la ministre Mariatou Koné. C’était le samedi 22 juillet 2023 au cours de la cérémonie marquant le 40 è anniversaire de l’Union des Villes et Communes de Côte d’Ivoire (l’UVICOCI) à la salle de fête du nouvel Hôtel communal de Boundiali en présence du Président l’UVICOCI, le ministre Paulin Claude Danho et de l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Jean Christophe BELLIART. Ce jour-là, Mariatou Koné, maire de Boundiali a honoré ses prédécesseurs, Lenissongui Coulibaly, Zémogo Fofana, Lassina Konaté et le défunt maire Ibrahim Koné.
Un hommage et une humilité salués au nom des récipiendaires par le ministre Lenissongui Coulibaly : « Elle est humble, respectueuse et travailleuse. Grâce à elle, nous sommes encore plus fiers de notre Boundiali » a-t-il dit faisant allusion aux nombreuses infrastructures réalisées en seulement cinq ans à la tête de la marie de Boundiali. En plus des anciens maires, plusieurs agents de la mairie à la retraite ou totalisant plus de 30 ans de services ont également été distingués.

Sercom Mariatou KONE

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Yamoussoukro : Les Inspecteurs renforcent leur capacité au cours d’un séminaire

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l’Association Nationale des Inspecteurs de l’Enseignement Préscolaire et Primaire de Côte d’Ivoire (ANIEPPCI) a organisé, ce vendredi 15 mars 2024 au lycée Mamie Adjoua de Yamoussoukro, un séminaire de renforcement des capacités de ses membres.

Placé sous le presidence de Madame le Ministre de l’Éducation Nationale et de l’Alphabétisation, Marietou Koné, le séminaire etait couronné par le thème : « Les Inspecteurs de l’Enseignement Préscolaire et Primaire de Côte d’Ivoire face aux défis de la transformation de l’école : la gestion administrative, la gestion des ressources humaines, le respect de la hiérarchie et des normes éducatives », cet atelier avait pour objectif de donner des rudiments nécessaires aux inspecteurs pour comprendre les normes éducatives afin de transformer qualitativement l’école au préscolaire et au primaire pour mieux les appliquer.

À cette occasion, les expertises des premiers responsables du MENA ont été sollicitées pour animer des conférences. En occurrence, le conseiller technique de madame le Ministre de l’Education Nationale et de l’Alphabétisation, Eloi kouassi, l’Inspecteur Général Coordonnateur du Préscolaire et du Primaire, Tra Pierre.
Le Directeur des Ressources Humaines , Dr ouattara Drissa et le Directeur de la Veille et du suivi des programmes, Deloh André

Tout en remerciant Madame le Ministre de l’Education Nationale et de l’Alphabétisation, le Président de l’ANIEPPCI, Fampari Koné Norbert, a souligné l’importance capitale de ce séminaire pour les IEPP en Circonscription et les Directeurs de CAFOP. S’inspirant du diagnostic du système éducatif et lui donnant une vitalité afin de répondre aux nouveaux défis liés à la complexité croissante du monde d’aujourd’hui, il a jugé utile cette formation pour les Inspecteurs.

Selon le conseiller Technique du Ministère de l’Éducation Nationale et de l’Alphabétisation, Kouassi Eloi , représentant Mme le Ministre Mariatou Koné, « un renforcement des capacités est un impératif catégorique dans un monde confronté à diverses notations surtout dans un contexte marqué par la transformation de notre appareil de transformation de valeur, de richesse qu’est l’école ». D’où l’importance de cette rencontre.

En effet, en organisant un tel séminaire, quatre objectifs non négligeables sont ciblés pour l’association. Il s’agit d’avoir un véritable renforcement des capacités dans la gestion administrative, le respect de la hiérarchie et des normes éducatives, les compétences nécessaires pour une bonne gestion des ressources humaines et des circonscriptions apaisées pour une meilleure utilisation des enseignants ainsi que les méthodes modernes de formation.

Au-delà de cet aspect, l’ANIEPPCI souhaite instruire les IEPP et les Directeurs de CAFOP sur la gestion rationnelle des ressources humaines, la gestion administrative pour en faire un outil de bonne gouvernance, sur le respect de la hiérarchie et des normes éducatives ainsi que sur les méthodes modernes d’évaluation d’apprentissage au préscolaire et au primaire.

Christ Kémondé

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