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Société

Semaine de sécurité routière: l’opération déployée sur l’ensemble du pays, 5877 forces de l’ordre, 441 véhicules et 556 motos engagés au 2e jour, samedi

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Lancée le vendredi 3 février 2023 à Abidjan avec un premier déploiement dans le district autonome d’Abidjan et la région de l’Agnéby-Tiassa, la semaine de la sécurité routière est montée d’un cran pour investir l’ensemble du territoire national au deuxième jour de l’opération, le samedi 4 février 2023. Ce sont au total 5877 forces de l’ordre, 441 véhicules et 556 motos qui ont été engagés pour 1091 postes de contrôles.

Pour quadriller progressivement tout le pays avec un dispositif accru sur les axes accidentogènes, le ministère des transports en collaboration avec ceux de la sécurité et de la défense ont déployé le samedi 4 février 2023, deuxième journée de sensibilisation et de répression, un effectif de 5877 forces de l’ordre, 441 véhicules et 556 motos sur 1091 postes de contrôles à travers le pays.

District Autonome d’Abidjan

Dans le district autonome d’Abidjan, ce sont 4469 forces de l’ordre, 144 véhicules et 200 motos qui ont été mis à contribution avec 383 postes de contrôles . Cette deuxième journée a enregistré 2640 usagers sensibilisés, 464 engins verbalisés et 106 véhicules mis en fourrières.

Intérieur du pays

L’opération s’est déroulée principalement dans les régions administratives couvertes par les préfectures de police.
Comme moyens engagés, on note 1408 agents des forces de l’ordre ( police et gendarmerie), 153 véhicules et 156 motos engagés et déployés sur 325 postes de contrôles.
Toujours à l’Intérieur du pays, cette deuxième journée a permis de sensibiliser 5040 usagers et de verbaliser 1214 véhicules.

Les infractions récurrentes

Les infractions récurrentes constatées au cours de cette deuxième journée sont : le défaut de visite technique, le défaut de plaque, le défaut d’assurance, l’usage du téléphone au volant, le non port de casque et le non-respect du code de la route.
Il faut enfin noter que pour ces 2 jours, vendredi et samedi, de la semaine de la sécurité routière, aucun incident majeur n’à été signalé.

Société

Bouaké/ le préfet Tuo Fozié sort son bâton de pélerin dans la résolution d’un conflit foncier entre des villageois.

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C’est munis de pancartes sur lesquelles ont pouvait lire : « Restituez nos terres; Nos terres ne sont pas à vendre etc » que les populations de Koblekro, kokokro, Tanou Sakassou, Kouadioblekro, Kouassiblekro se sont déportées à la préfecture de région de Gbêkê, les lundi 22 et mardi 23 avril 2024, pour, disent-elles, rencontrer le préfet, Tuo Fozié pour exprimer leurs mécontentements. Un problème foncier oppose les habitants des villages cités à certains de leurs parents dont des chefs de village qui auraient bradé leurs terres. Au cours des deux rencontres qu’elles ont eu avec le préfet de région, préfet du département de Bouaké, Tuo Fozié, rien n’a filtré. À l’issue de ces deux rencontres, des responsables de la délégation des plaignants ont soutenu qu’ils ont sollicité l’aide du préfet pour un règlement efficace de leur problème qui se trouve déjà dans les mains de la justice. Aussi, au terme des rencontres, le porte-parole principal des populations, Gada Kouassi Germain, a rassuré le préfet qu’ils ne sont pas venus semer le désordre à la préfecture mais sont présents pour qu’il leur vienne en aide à rentrer en possession de leur patrimoine foncier. « Nous sommes venus rencontrer le gouverneur afin qu’il prête une oreille attentive à nos problèmes de terre. En effet, nous sommes en désaccord avec quelques autorités de la région qui, en complicité avec quelques chefs de villages, s’approprient nos terres et nous nous retrouvons sans rien. Cette situation nous peine beaucoup car, nous avons des familles qui dépendent de ces terres. Aujourd’hui, plusieurs personnes n’étant pas propriétaires terrien se permettent de vendre nos parcelles, de force, à des acheteurs et ce, dans le dos des vrais propriétaires. Nous sommes venus aujourd’hui, afin que le préfet de région nous aide à trouver une issue favorable face à ce problème », a-t-il confié. Pour terminer, il s’est dit confiant pour la suite de l’affaire après l’entretien avec le préfet qui leur aurait promis de trouver une solution d’ici quelques semaines. « Nous repartons satisfaits car le préfet nous a rassuré qu’il va trouver des voies et moyens pour régler ce litige d’ici quelques semaines. Nous sommes confiants car le gouverneur est un homme de parole et plein de sagesse qui saura trouver des solutions qui vont nous arranger tous. Par ailleurs, si des autorités veulent de nos parcelles pour exécuter des projets qui vont arranger les populations, notamment la jeunesse, qu’elles viennent nous voir et nous allons discuter de la faisabilité de ces projets. Nous ne voulons pas que des personnes s’approprient nos terres pour s’enrichir et nous laisser dans la misère», a-t-il dénoncé. Selon eux, Tuo Fozié les a rassuré de son engagement à tout mettre en œuvre pour résoudre leur problème. Ils ont soutenu qu’il leur a demandé de revenir dans quelques jours, le temps pour lui de s’informer plus sur la situation et trouver des solutions idoines pour toutes les parties prenantes à ces litiges fonciers.

Les populations ont également effectués une visite sur les différents sites avant de regagner leurs villages.

Prince Koffi

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Société

Bouaké : La co-gestion de la famille au cœur d’une thèse de doctorat.

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C’était dans les locaux de l’amphithéâtre B de l’unité de formation et de recherche des sciences juridiques, administratives et politiques du campus 1 de l’université Alassane Ouattara que l’étudiant Dao Issa a soutenu sa thèse de doctorat, le mercredi 24 avril 2024. Sa thèse était intitulée  » la gestion conjointe de la famille en droit civil ivoirien » et plusieurs personnes sont venus lui apporter leur soutien. Après plusieurs minutes d’exposer, Dao Issa a expliqué aux membres du jury l’importance de l’implication des conjoints dans la gestion de la famille pour mettre fin aux inégalités sociales.
À la suite des délibérations, Dao Issa a été distingué avec les honneurs lors de sa soutenance, recevant ainsi, la mention très honorable avec félicitations du jury, présidé par le Professeur Ouattara Aboudramane, de l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan. Le directeur de thèse, SILUÉ Nanga, a salué la profondeur des recherches de Dao Issa, tout en soulignant son engagement à révolutionner la vision de l’égalité entre hommes et femmes dans la gestion familiale.
Au terme de sa soutenance, Dr Dao Issa a souligné que son thème vise à réparer les inégalités sur la gestion de la famille:« Ce thème a été choisi parce que la gestion de la famille était une gestion centralisée et au lendemain des indépendances ce qui signifie que c’est le mari qui était le chef de famille c’est ce que la loi disait mais depuis 2013 et 2019 précisément la famille est maintenant gérée conjointement. C’est ce qui veut dire que les deux époux doivent être associés à la gestion mais ce que nous voyons dans les faits, la société ivoirienne n’est pas d’accord avec cette disposition parce que les gens estiment que supprimer la chefferie du mari de la famille n’est pas bien et qu’il faut maintenir celà. Alors que la loi recommande la gestion conjointe. Donc nous avons travaillé sur ce thème pour voir pourquoi la population ivoirienne rejette la gestion conjointe et si la population rejette qu’est-ce-que le droit doit faire pour que cette loi puisse s’appliquer. ce que nous avons observé c’est que tout vient de la coutume. Ce qui veut dire que dans nos traditions c’est le mari qui est le chef. Dans toutes les ethnies principalement c’est ce qui se fait. Donc c’est la raison principale pour laquelle la population Ne veut pas dire que dans chaque couple il faudrait qu’il ait un chef et le chef doit être le mari pourtant la loi dit autre chose.
», a-t-il présenté.

Poursuivant, il a proposé des solutions pour une meilleure gestion de la famille :« La loi doit d’abord régler les problèmes qui se rapportent à la loi elle-même et puis associer la population, les chefs traditionnels, les chefs religieux pour voir comment cette loi peut être appliquée dans la réalité», a-t-il suggéré.

La soutenance de la thèse de Dao Issa marque un jalon important dans la quête de justice sociale et de progression vers une société où la cogestion de la famille est non seulement légalement reconnue, mais aussi pleinement intégrée dans la réalité quotidienne.

Prince koffi

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Société

Toumodi/Les conseillers municipaux formés

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Le samedi 6 avril dernier, la salle de mariage de la mairie de Toumodi a abrité une cérémonie spéciale. Il s’agit d’une formation en faveur des conseillers municipaux en vue de leur faire connaître leurs rôles et leurs responsabilités dans la gestion de la commune. En effet, en présence du premier magistrat de la commune de Toumodi Idrissa Koné et devant le collège des conseillers municipaux, le formateur du jour Sylvain Oulou sous directeur des finances et des budgets à la Direction Générale de la Décentralisation et du Développement Local a communiqué sur le bien fondé d’une telle formation. Pour le formateur, les conseillers municipaux doivent maîtriser les missions qui sont les leurs et avoir une certaine conduite dans la gestion même de la commune. A entendre bon nombre de conseillers municipaux qui se sont confiés à la presse,  » il s’agit d’une très bonne formation pour les conseillers municipaux, surtout pour les nouveaux conseillers municipaux parce qu’elle permet aux conseillers de connaître et de comprendre l’organisation d’une mairie, les textes fondateurs d’une mairie, les missions, le rôle, les droits et obligations d’un conseiller municipal. » En initiant cette séance de formation, le maire Idrissa Koné démontre l’intérêt qu’il accorde au niveau qualitatif de connaissance de ses collaborateurs. A la fin de cette rencontre, Idrissa Koné a offert un repas copieux à l’ ensemble des participants à cette formation.

Allassane digbeu

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