Le nommé Y.K.A 29 ans dans les sérails de la police, suite à plusieurs cas avérés de viols.
Fin de parcours de cet autre bandit de grand chemin à Yamoussoukro, après le tueur en série mis en déroute le mois dernier. En effet, le présent violeur en série nommé Y.K.A, 29 ans résident à Yamoussoukro au quartier Kami, mari de trois femmes et père officiellement de quatre enfants, vient d’être arrêté après plusieurs forfaits.
Les hommes du Commissaire Coulibaly Foungnigue Yacouba du 1er Arrondissement de Yamoussoukro viennent de neutraliser ce quidam, spécialiste des viols en série.
Très friands des jeunes filles et des femmes sans défenses, cette fois n’a pas été la bonne, car il n’aura pas la chance de se tirer d’affaire.
Y.K.A, conducteur de taxi a été mis aux arrêts par les agents de la police dans la nuit du 5 novembre 2022 aux environs de 1h du matin à bord d’un taxi qu’il conduisait lui-même. Les faits à lui reprochés: Son taxi avait les 4 chiffes de l’immatriculation correspondant à un taxi signalé par une jeune dame de 30 ans violée par un taximan dans la nuit du 1er novembre 2022. Conduit au poste de police la même nuit, le prévenu est très vite passé aux aveux d’être auteur du viol de la jeune dame, non sans, d’abord nier les faits, tout en bloc. Il déclare par la suite au poste de police qu’il a certes abusé de plusieurs filles (clientes) qui empruntait son taxi tardivement lorsqu’elles sont seule dans son taxi.
Comment le réussissait –il ? À l’en croire, Il porte à ses côtés une arme blanche à chaque fois qu’il a à portée de main, une proie. Lorsqu’il isole le cas, il l’intimide avec son arme, et sans défense, elle s’oblige à coopérer. C’est ainsi qu’au soir du 1er novembre, il affuta ses armes pour une autre chasse aux filles. La proie du jour n’est autre malheureusement qu’une jeune femme nommée K. N. âgée de 30 ans.
Elle emprunta son taxi en compagnie de son petit ami qui voudrait s’assurer qu’elle descendrait saine et sauve à la maison avant de rentrer chez lui. C’est dans ce sens que les deux empruntent le taxi de K.A.N au niveau du lycée Mamie Adjoua pour se rendre à Morofé. Il avaient convenu que le taximan descendrait la fille chez elle avant de déposer l’homme en dernière position, puisqu’il faisait tard. Chemin faisant, le taximan très rusé et d’ailleurs habitué à la ruse intercepte la conversation du couple, puisqu’il comprend bien leur ethnie. Il s’immisce donc dans la causerie faisant croire qu’ils sont des frères ethniques. Il convainc le mec a rentré tranquillement chez lui et qu’il irait déposer la fille en toute sécurité assurant qu’il habite lui-même le quartier de la fille. Convaincu de retrouver un frère taximan, il n’hésite pas de descendre du taxi a Assabou laissant sa copine au nouveau frère (taximan) qu’il venait de connaître. Grave erreur! Une fois descendu du taxi, le plan de K.A.N n’a plus d’embûches. Il peut manipuler la jeune fille à sa guise. C’est ainsi, qu’il change de parcours pour conduire la dame dans son QG habituel, un endroit isolé vers la forêt de guiglo pour abuser d’elle. Après son forfait il lui arrache son téléphone pour n’occasionner aucune alerte. Les faits ainsi établis par lui-même, la police a donc effectuée une perquisition à son domicile sis au quartier-village de Kami. Ses différentes armes de chasses et le téléphone portable de marque Huawei Nova 8i de la victime y ont été retrouvés.
La victime K.N a tout suite reconnu son bourreau dès qu’elle l’a aperçue à la police lorsqu’elle a été invité pour identification du voyou. A la vue de sa victime, celui-ci s’est effondré en pleurs devant K.N prétextant regretter son acte.
Après l’éclatement de l’affaire, une jeune fille qui souhaite garder l’anonymat a témoigné au micro d’infocentrale.net que K.A.N a fait des victimes dans le quartier Morofé.
Rappelons à toutes fins utiles que les agents de police du même commissariat avaient débusqué un assassin au sang-froid à la mi-octobre 2022 qu’ils ont réussi à pousser aux aveux et même à la confession de ses crimes passés comme s’il était en face du curé. C’est le lieu de féliciter le Commissaire Coulibaly Foungnigue et ses hommes.
A la tête du département ministériel des transports en Côte d’Ivoire ( transport terrestre, aérien, maritime, ferroviaire) depuis le 11 janvier 2017, le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné a fait de la sécurité routière, l’une de ses priorités. Après seulement deux ans de sa mise en œuvre, la stratégie nationale 2021-2025 de sécurité routière en Côte d’Ivoire vient d’être saluée et félicitée à travers le prix Kofi Annan pour l’innovation dans la digitalisation des services de transport. Ce prix, le 1er de la 1ère catégorie la plus prestigieuse des Awards de la Sécurité routière, vient ainsi consacrer que la digitalisation est la solution avec des résultats reconnus comme probants pour une atteinte des objectifs fixés par la communauté internationale à travers l’élaboration et la mise en place d’une stratégie de sécurité routière robuste et ambitieuse. Bien entendu, un prix que le ministre Amadou Koné a dédié au président Alassane Ouattara dont la vision et le leadership ont permis d’atteindre ce résultat. C’était le mardi 26 septembre 2023 lors de la deuxième édition des Awards du prix Kofi Annan pour la sécurité routière à Marrakech au Maroc.
Réagissant promptement suite aux recommandations des Nations unies de février 2020 sur la réduction de 50% du nombre de morts et de blessés sur les routes d’ici 2030, la Côte d’Ivoire s’est engagée sous l’égide du président Alassane Ouattara, comme l’ensemble des États membres de l’Onu, dans l’atteinte de ces objectifs à travers la validation par le ministère des transports d’une stratégie décennale ( réduction de 50 % à l’horizon 2030) et l’adoption le 7 juillet 2021 d’une stratégie quinquennale 2021-2025 ( réduction de 25% à l’horizon 2025). Ce dernier plan quinquennal dénommé stratégie nationale 2021-2025 de sécurité routière ( SNSR) repose sur trois piliers à savoir : l’efficience de la riposte, l’anticipation par la mise en œuvre des NTIC au service de la sécurité routière et enfin l’engagement citoyen par une vaste campagne de sensibilisation, de prévention et de communication. Mais la grande innovation qui fera de la Côte d’Ivoire, la pionnière en matière de lutte contre les accidents de la route en Afrique fut l’utilisation de la vidéo-verbalisation et la digitalisation des procédures de délivrance des documents et titres de transport. C’est donc à juste titre que cette innovation reçoive le premier prix de la première catégorie la plus prestigieuse du prix qui porte le nom de l’ancien secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan, après des résultats encourageants d’une expertise qui fait désormais cas d’école en Afrique.
Les temps forts de la réunion de Marrakech
Lundi 25 septembre. Cérémonie d’ouverture
La deuxième édition du prix sectoriel Kofi Annan pour la sécurité routière s’est ouverte ce lundi 25 septembre à l’hôtel Savoy Le Grand à Marrakech au Maroc en présence de plusieurs ministres en charge des transports en Afrique ou leurs représentants, notamment de la Côte d’Ivoire, du Maroc, du Cameroun, de l’Ouganda, du Benin, de l’Éthiopie, du Sénégal, d’Eswatini, du Rwanda ainsi que de l’Envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la sécurité routière, Jean Todt et des représentants de la commission économique des nations unies pour l’Afrique, de la banque mondiale ect. Cette cérémonie d’ouverture marquant le premier jour des échanges a mis à contribution plusieurs panelistes experts mondiaux des questions de sécurité routière autour de quatre thématiques :
Construire une approche numérique de la sécurité routière
Cette session a instruit les participants sur la question de la transformation numérique et les nouvelles technologies comme catalyseurs de la deuxième Décennie d’action des nations unies 2021-2030 pour la sécurité routière. Il a été exposé également les solutions digitales du secteur du transport routier au Maroc, l’utilisation des drones pour prévenir les accidents et l’automatisation et la digitalisation de l’épreuve pratique du permis de conduire. La deuxième thématique, « Définir l’environnement technologique, réglementaire et financier » s’est lui, appesanti sur le nouveau mécanisme de financement de la sécurité routière testé par le consortium leader de la banque mondiale et les stratégies numériques africaines pour répondre aux besoins sectoriels grâce au renforcement de la disponibilité de l’internet en Afrique.
Les Expériences à travers l’Afrique dans l’utilisation de la digitalisation au service de la sécurité routière : la Côte d’Ivoire félicitée, comment le DG de Quipux Afrique a séduit les participants.
Paneliste au cours de cette session, le directeur général de Quipux Afrique, Ibrahima Koné, membre de la délégation du ministre Amadou Koné, a présenté l’un des trois piliers de la Stratégie Nationale 2021-2025 de la sécurité routière, « l’anticipation des nouvelles technologies au service de la sécurité routière », notamment les deux mesures importantes prises pour des routes et vitesses sûres et l’instauration d’un système de transport intelligent ( STI) afin de réduire l’accidentalité de certains axes routiers urbains, par le changement progressif de comportement des usagers de la route. Selon le DG de Quipux Afrique, l’instauration du SGI ( système de gestion intégrée) avec la création des CGI ( centre de gestion intégrée) dans plusieurs villes du pays, a permis la collecte et le traitement des données et l’accessibilité au service public. Enfin, poursuit M. Ibrahim KONÉ, la stratégie nationale 2021-2025 de sécurité routière a permis une baisse des infractions ( non port de la ceinture au volant), une réduction de la vitesse ( de 80 km/h en 2021 à 59km/h en 2023) et une baisse considérable en 2022 dans le grand Abidjan, des accidents de 44%, 64% pour les tués et 10,39% pour les blessés. Une expérience ivoirienne fortement appréciée par l’ensemble des participants et qui confirme une nouvelle avancée du modèle ivoirien au regard des autres modèles présentés, à savoir les modèles marocain, Ougandais ou encore Camerounais. La quatrième et dernière thématique du jour « les expériences à travers l’Afrique dans la gestion de la sécurité routière » a mis à contribution les expériences Béninoise, Éthiopienne, Sénégalaise et d’Eswatini.
Mardi 26 septembre 2023
La deuxième et dernière journée de la deuxième édition du prix sectoriel Kofi Annan pour la sécurité routière s’est poursuivie avec la présentation des rapports du plan d’action de l’observatoire africain pour la sécurité routière ou l’ARSO ( 2018-2022) et l’avancement du nouveau plan d’action ( 2022-2024).
La Côte d’Ivoire reçoit le 1er prix de la 1ère catégorie la plus prestigieuse des Awards du prix Kofi Annan pour la sécurité routière : L’innovation dans la digitalisation des services de transport.
Le Ministre ivoirien des Transports, Amadou Koné, à la tête d’une délégation, a pris part, les lundi 25 et mardi 26 septembre 2023 à Marrakech au Maroc, à la 2e édition du Prix Kofi Annan pour la sécurité routière, co-organisée par le Royaume du Maroc, la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique et le bureau de l’Envoyé spécial du Secrétaire Général des Nations Unies pour la Sécurité routière. A cette occasion, la Côte d’Ivoire a reçu le 1er prix de la 1ère catégorie la plus prestigieuse des Awards de la Sécurité routière, en matière d’innovation dans la digitalisation des services de transport. Un prix qui vient ainsi consacrer que la digitalisation est la solution avec des résultats reconnus comme probants pour une atteinte des objectifs fixés par la communauté internationale à travers l’élaboration et la mise en place d’une stratégie de sécurité routière robuste et ambitieuse. Enfin, une distinction qui vient reconnaître l’important travail de modernisation et de professionnalisation abattu par le gouvernement ivoirien, à travers le Ministère des Transports, avec l’adoption en juillet 2021 de la stratégie nationale de la sécurité routière et la mise en œuvre du système de transport intelligent (STI), en collaboration avec l’entreprise ivoirienne Quipux Afrique.
Amadou Koné dédie le prix au président Alassane Ouattara
« Je voudrais saluer le peuple marocain pour l’accueil chaleureux et exprimer nos compassions pour le drame du séisme survenu le 8 septembre dernier. Je voudrais enfin féliciter le peuple chérifien du Maroc pour la gestion de ce drame(…) Merci à Jean Todt qui donne une impulsion particulière à la question de la sécurité routière. Merci à tous les collègues présents et à la délégation qui m’accompagne » a dit le ministre Amadou Koné après la réception du prix, qu’il a dédié au président Alassane Ouattara pour sa vision et son leadership en matière de sécurité routière en Côte d’Ivoire. Poursuivant, le ministre ivoirien des Transports Amadou Koné s’est dit satisfait des résultats et des avancées notables de la mise en œuvre de la Stratégie Nationale 2021-2025 de la sécurité routière dont le pilier essentiel reste la dématérialisation et la digitalisation de toutes les procédures avec la vidéo-verbalisation comme mesure essentielle. « C’est vrai qu’il y a encore des cas de décès. Mais nous constatons une baisse considérable dans le grand Abidjan avec 33% de réduction en deux ans. Enfin à côté des efforts qui continuent d’être consentis pour sauver des vies humaines sur nos routes à travers toutes ces mesures ambitieuses et robustes, nos jeunes sont très ingénieux en digitalisation, un domaine qui devient désormais une bonne niche pour les emplois jeunes »a-t-il souligné.
Les autres catégories du prix
Le Prix Kofi Annan pour la sécurité routière vise à primer les bonnes pratiques en matière de sécurité routière sur le continent africain. Les Prix concernent six catégories ; à savoir l’Innovation, la Gestion de la sécurité routière, la Gestion des Données, les Véhicules plus sûrs, les Transports Publics et la Communication. Ainsi à la suite de la Côte d’Ivoire, ont été primés : L’Eswatini pour le prix Gestion de la sécurité routière ; le Benin pour la Gestion des données ; le Rwanda pour les Véhicules sûrs ; l’Éthiopie pour les transports publics et transfert modal ; le Cameroun pour la communication et enfin le Maroc pour le prix d’honneur Sécurité Routière.
Les objectifs spécifiques du prix sectoriel Kofi Annan pour la sécurité routière
Notons que les objectifs de ce prix sont : le renforcement de la capacité des pays africains et des parties prenantes à exploiter la numérisation et l’intelligence artificielle pour faire progresser le programme de sécurité routière ; il vise à faciliter l’échange des connaissances, favoriser une compréhension plus approfondie du potentiel de la numérisation et de l’intelligence artificielle pour la sécurité routière. Enfin, c’est le lieu d’éclairer les voies de financement existantes pour les projets de sécurité routière mais et surtout des discussions des moyens de collaboration avec l’observatoire africain pour la sécurité routière ( ARSO) afin d’améliorer la gestion des données de sécurité routière.
Le lundi 25 septembre, la salle de réunion de la mairie de Kokumbo a abrité la cérémonie de passation de charges entre le maire sortant Hervé Paul Koffi du Pdci-Rda qui s’est fait représenter et le maire entrant Noel Kouame Faustin du Rhdp vainqueur des municipales du 2 septembre dernier à Kokumbo. Le corps préfectoral, les chefs de service communaux, les agents de la mairie et les chefs traditionnels ont assisté à ce grand rendez-vous qui donne quitus à la nouvelle équipe de fonctionner.
C’est pourquoi le préfet de région du Bélier N’Guessan Kouakou Germain préfet du département de Toumodi qui a présidé ladite cérémonie a mentionné ce qui suit après la signature des différents documents: » Il est question maintenant de vous présenter, de présenter à la population de Kokumbo le maire entrant pour dire que vous avez votre maire qui prend fonction dès lors que tous les documents sont signés. Aussi, solennellement, le maire entrant va t-il recevoir des mains du maire entrant les documents de sa charge. Je vais donc demander aux deux maires de faire la passation de charges sous ma supervision. » Après l’acte proprement dit de la passation, le maire sortant s’est exprimé: » J’ai l’insigne honneur de représenter le maire sortant Hervé Koffi Paul indisponible pour raison de santé. Je voudrais dire merci au préfet pour avoir joué le rôle de conseil en faveur des deux équipes. Merci aussi aux chefs de service municipaux qui ont assuré le fonctionnement des services municipaux durant toute notre mandature. J’associe à ces remerciements la nouvelle équipe pour avoir jusque là faciliter les échanges entre nous. Cela augure d’un bon esprit de cohésion et de convivialité. J’ose espérer que cette atmosphère favorable à toute action de développement se poursuive pour le bonheur de nos populations. » Maître Noel Kouame Faustin le nouveau premier magistrat de la commune de Kokumbo a fait la déclaration suivante: » Il y a eu beaucoup de choses qui ont été dites et beaucoup de conseils également ont été donnés. Rassurez-vous, ici à Kokumbo, nous sommes les enfants d’une même famille et nous avons intérêt à être ensemble pour développer ensemble Kokumbo. Après cette étape des élections, la fraternité continue. C’est pourquoi nous avons rapidement colmate les brèches pour que cette cohésion familiale soit de mise. Je le dis haut et fort, il n’y aura pas de chasse aux sorcières. Ce que nous pouvons faire est d’apporter le génie qui est en nous pour montrer à nos parents qu’ils ont eu raison de nous faire confiance. Le temps de l’impartialité est arrivé. Le temps où on doit faire la part des choses est actuellement arrivé. Je suis le maire de tout le monde. Nous sommes maire pour les orphelins, pour les veuves, pour la population sans faire de tri. Nous avons un problème de cohésion entre les cadres. Il faut que les cadres s’entendent. Je voudrais particulièrement remercier madame le sous-préfet de Kokumbo qui a utilisé son génie pour que les élections se passent de manière apaisée. Je suis à votre disposition puisque je suis votre enfant. » Une photo de famille a mis fin à cette rencontre.
Afin de soulager les parents d’élèves et les élèves en cette période de rentrée scolaire, l’Ong femme active pour le développement et la cohésion (FADEC) a procédé à la remise officielle de 1500 kits scolaires aux élèves du primaire et du secondaire de la ville de Bouaké. Cette remise des kits scolaires composés de cahier, et d’autres accessoires s’est fait, le dimanche 24 septembre 2023 au centre culturel de Bouaké. Au cours de cette 3e édition de partage de kits scolaires, la présidente de l’Ong FADEC, Diomandé Korotoum a souligné les motivations de ces dons :« L’éducation est un droit fondamental pour tous les enfants, quels que soient leur sexe, leur origine ou leur statut socio-économique. Notre action d’aujourd’hui a pour but de donner un peu d’espoir à ces enfants qui, malgré les difficultés rencontrées, continuent à croire en leur avenir et en leur capacité à réussir. Nous nous engageons à leurs côtés pour leur fournir les outils nécessaires pour atteindre leurs objectifs en matière d’éducation. Par ailleurs, je demande à tous les bienfaiteurs ainsi qu’à l’Unicef de nous accompagner dans cette action», a-t-elle fait savoir.
Président de cette cérémonie de distribution, le vénérable sénateur, Djibo Sounkalo, par ailleurs ex maire de Bouaké a salué cette initiative de l’Ong qui vise à soulager les parents d’élèves en cette période difficile de rentrée scolaire:« L’éducation est la clé qui ouvre les portes de l’opportunité. Elle est le fondement sur lequel se construit le progrès. Nous nous engageons à continuer à œuvrer pour améliorer nos infrastructures éducatives, à renforcer nos programmes de formation et à fournir un environnement propice à l’apprentissage », a-t-il salué.
Au nom des bénéficiaires, Mambo Reine Esther, élève en classe de seconde a remercié la présidente de l’Ong FADEC pour cette action à leur égard. Elle a invité ses camarades à travailler avec rigueur et abnégation afin que les efforts de la donatrice ne soient pas en vin.